- le jardin travaille le corps et l’esprit. Il est un véritable éloge de la lenteur, de la persévérance et de la patience. Comme un jardin, la pensée et la réflexion s’exercent peu à peu, et il faut du temps pour se forger son propre libre-arbitre. Le jardin confronte violemment l’homme à sa finitude et à sa condition. Oser penser le jardin, c’est devoir revenir aux fondements du monde et de l’homme -
Sculpture bois et papier
Format 10 x10 cm